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  • Saturday, December 3, 2022

    Soutenance d'habilitation à diriger des recherches, Université de la Sorbonne, samedi 3 décembre 2022.

    Le dossier est intitulé « Pouvoir, espace et identités à la fin du Moyen Âge : une géohistoire (France et Lorraine) ».

    Il sera présenté devant un jury composé de Mesdames et Messieurs les Professeurs

    Elisabeth Crouzet-Pavan (Sorbonne Université, garante)
    Michelle Bubenicek (directrice de l’École Nationale des Chartes)
    Isabelle Guyot-Bachy (Université de Lorraine – Nancy)
    Xavier Hélary (Sorbonne Université)
    Olivier Mattéoni (Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne)
    Olivier Richard (Université de Strasbourg).

    Le dossier comprend l’ouvrage original inédit « Le dehu de princerie ». Le roi René et les Angevins en Lorraine (1424-1508).

    La soutenance aura lieu le 3 décembre de 14h à 18h dans l’amphithéâtre Quinet de Sorbonne Université : l’entrée se fait uniquement par le 46 rue Saint-Jacques, Paris. L’inscription est obligatoire pour entrer dans les locaux de l’université, avant samedi 25 novembre auprès du candidat.






  • Tuesday, September 13, 2022

    Thèse en cours :

    Marianne Besseyre, Contribution à l’histoire du royaume de Naples d'après la Bible moralisée enluminée à la cour des Angevins vers le milieu du XIVe siècle (Paris, BnF, ms. fr. 9561), sous la direction de Guido Castelnuovo (Université d’Avignon) et de Frédéric Elsig (Université de Genève).

     

     






  • Friday, December 10, 2021

    Soutenance d’Habilitation à diriger les recherches

    le 10 décembre 2021, Université de NantesChâteau du Tertre, 14h

    Kristjan Toomaspoeg (Università del Salento, Lecce)
    mémoire inédit : La frontière entre les États de l’Église et le royaume de Sicile (XIIe-XVe siècle)
    mémoire de synthèse : De la Livonie au royaume de Sicile

    • garante : Mme Annick Peters-Custot, Université de Nantes
    • jury : Roberto Delle Donne, Università degli Studi di Napoli « Federico II »
      – Benoît Grevin, CNRS, UMR LAMOP
      – Nikolas Jaspert, Université de Heidelberg
      – Philippe Josserand, Université de Nantes
      – Thierry Pécout, Université Jean Monnet (Saint-Étienne)





  • Friday, November 5, 2021

    Prix Maria S. Theochari.

    Gianvito Campobasso, alors à l'Université de Fribourg, Département des sciences historiques

    a reçu le prix « Maria S. Theochari »  de la part de la Christian Archaeological Society – Scientific Society for the Study of Byzantine and Post-byzantine Archaeology and Art (fondée en 1884), pour sa publication parue dans l’un des colloques du programme Europange :

    « Les traces d’un art angevin en Albanie. Circulation artistique et transferts culturels dans l’art de l’Arbanon entre le XIIIe et le XVe siècle», dans Th. Pécout dir., Les officiers et la chose publique dans les territoires angevins (XIIIe -XVe siècle). Vers une culture politique ?, Rome, 2020, p. 369-422.






  • Thursday, November 4, 2021

    Hommage à Sylvie Pollastri et à Andreas Kiesewetter

    La communauté des médiévistes et des études angevines a été durement éprouvée dans l’année 2021 par la disparition de deux de nos collègues. Sylvie Pollastri est décédée en mai, Andreas Kiesewetter le 20 octobre. Tous les deux comptaient parmi les spécialistes de l'histoire du royaume de Sicile. Notre revue Mémoire des princes angevins leur rendra hommage dans sa livraison de 2021.






  • Thursday, November 4, 2021

    Parution du septième tome des Pergamene angioine della Mater Ecclesia Capuana

    Bova Giancarlo (ed.), Le pergamene angioine della Mater Ecclesia Capuana, 7, 1293-1302, Salerno, Palladio Editrice, 2021.

     






  • Monday, September 13, 2021
  • Wednesday, April 21, 2021

    Mise en ligne du numéro 13 de la revue

     

     

    Mémoire des princes angevins sur le portail des Études angevines.

    La revue, dirigée par Isabelle Mathieu (Université d’Angers), émane de l’association du même nom.

    Mémoire des princes angevins






  • Wednesday, January 20, 2021

    Hommage à Jean-Marie Martin (1938-2020)

    Jean-Marie Martin, directeur de recherches honoraire au CNRS (Laboratoire Orient et Méditerranée, UMR 8167) est décédé le 13 janvier 2020. Il était l’un des plus grands spécialistes de l’histoire de l’Italie méridionale au Moyen Âge. Il avait notamment préparé avec Amedeo Feniello l’ouvrage De la Pouille à l’Artois. Documents italiens concernant le comte d’Artois Robert II conservés aux Archives départementales du Pas-de-Calais (1266-1303).

     

    Voici l’hommage que lui a consacré Annick Peters-Custot (Université de Nantes) pour la Société des historiens médiévistes de l’enseignement supérieur public.

     

    Si Jean-Marie Martin a affirmé, lors de son discours de réception des Mélanges préparés en son honneur, qu’il n’avait pas de considération particulière pour une carrière « administrative » qu’il estimait (sans doute à tort) sans trop de relief, il soulignait toujours le plaisir qu’il eut à enseigner, d’abord au lycée de Troyes, puis à l’université de Tunis, à celles de Tours et Orléans, et à la Sorbonne, avant d’entrer au CNRS. Considérable est son œuvre historique, dont l’ampleur, la précision, la rigueur et l’érudition en font un des plus importants spécialistes de l’Italie méridionale médiévale. Cette œuvre associe des travaux d’analyse qui restent des monuments (tel le livre tiré de sa thèse d’État, La Pouille du VIe au XIIe siècle paru à Rome, à l’École française de Rome, en 1993 auquel s’ajoutent plus de 350 articles et papiers), des ouvrages de plus large diffusion d’une rare intelligence (Italies normandes, paru en 1994 dans la collection « La vie quotidienne », mais citée jusque dans des travaux de thèse et traduit en italien) et surtout des publications de sources d’archives de et sur l’Italie du Sud, dont Jean-Marie Martin était le spécialiste incontesté. Depuis la publication des Chartes de Troia, en 1976, c’est plus d’une douzaine d’éditions de sources qui sont parues grâce à lui avec, comme aboutissement et couronnement, ce qui resta en la matière son maître-ouvrage, le Registre de Pierre Diacre, paru en 2015 en 5 volumes, et pour lequel il a coordonné une équipe de savants et travaillé pendant plus de 17 ans. 

    Jean-Marie Martin professait deux références historiographiques françaises majeures : Marc Bloch et Pierre Toubert, dont il suivait les séminaires avec assiduité. Il était un historien de la longue durée mais du détail, de l’histoire d’une (grande) région sans régionalisme, un historien de l’économie et de la société mais sans exclure les dimensions politiques et culturelles, un historien des organisations et des structures humaines, attentif aux paysages et aux communautés. Sa vie se partageait entre deux pôles, Paris et Rome, qu’il reliait régulièrement, accompagné de son épouse Bernadette Martin-Hisard, au volant de sa voiture, dans d’interminables trajets généralement ponctués d’arrêts dans le Sud de la France. Ces deux pôles étaient aussi les sièges de deux institutions principales dans sa carrière : le Centre d’histoire et de Civilisation de Byzance, devenu une équipe de l’UMR 8167 « Orient et Méditerranée », et l’École française de Rome. S’il a beaucoup œuvré avec des collègues, souvent devenus amis, de son laboratoire parisien, Jean-Marie Martin restera inséparable de la Bibliothèque du Palais Farnèse où sa présence était si coutumière que c’étaient surtout ses rares absences qu’on remarquait. Dans ces deux institutions, il contribua à des projets collectifs ou des travaux à plusieurs mains (notamment avec Jacques Lefort), et coordonna de nombreux programmes de recherche pour l’École, car il n’était jamais à court d’idées, jusqu’au dernier programme, sur les cartulaires italiens, pour lequel il réunit une équipe franco-italienne nourrie de jeunes historien(ne)s. Jean-Marie Martin a profondément marqué l’histoire de l’École et a contribué à conforter l’insertion de cette dernière dans l’historiographie du « Mezzogiorno » médiéval. Mais c’est au Palais Farnèse que se déployaient le plus ses rares qualités de disponibilité, de générosité, d’attention aux jeunes chercheurs et aux jeunes collègues, à qui il faisait bénéficier des ressources inépuisables de son infaillible érudition ; des qualités grâces auxquelles il créa et entretint un remarquable réseau d’amis et de collègues en France comme en Italie, où il était réellement reconnu comme un Puer Apuliae.

    Jean-Marie Martin était tout cela mais il ne l’était pas seul. En réalité, c’est un couple qu’il faut ici mentionner, celui qu’il formait avec notre collègue Bernadette Martin-Hisard, laquelle l’accompagna dans le travail comme dans sa vie, lumineuse d’une fertilité intellectuelle et amicale peu commune.

    Annick Peters-Custot






  • Monday, December 7, 2020

    Soutenance de thèse, Justine Moreno, Université d’Angers, le 17 décembre 2020 : 

    Justine Moreno, Les officiers de la Chambre des comptes d’Angers (XIVe-XVesiècles). Histoire de l’institution et prosopographie du personnel.

    Sous la direction de Jean-Michel Matz (†) et Isabelle Mathieu. Jury : Jean-Luc Bonnaud (Université de Moncton), Élisabeth Lalou (Université de Normandie-Rouen), Olivier Mattéoni (Université de Paris I), Thierry Pécout (Université Jean Monnet, Saint-Étienne).